Il était alors 00h10. Le drame a été évité de justesse puisque le Loïc Lucas immatriculé à Caen et évoluant à Grandcamp-Maisy a sombré en quelques minutes.
L’équipage, composé de quatre marins, avait heureusement eu le temps d'alerter les secours. Quelques heures seulement après le choc, nous avons pu joindre le patron du Loïc-Lucas, Ludovic Rabasse.
Écoutez son témoignage.
Naufrage d'un chalutier : le récit du patron du Loïc-Lucas
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