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Contactez-nousL'Assemblée nationale a rejeté mardi sans surprise la première motion de censure du gouvernement face à l'affaire Benalla, celle déposée par les députés LR.
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Contactez-nousEdouard Philippe a dénoncé mardi "l'instrumentalisation politique" faite de l'affaire Benalla par les oppositions et a assuré que son gouvernement n'entendait pas "ralentir le rythme" des réformes malgré les deux motions de censure débattues à l'Assemblée nationale.
Point d'orgue de l'offensive à l'Assemblée sur l'affaire Benalla, le gouvernement fait face mardi à deux motions de censure, de droite et de gauche, dont le rejet attendu ne garantit pas la fin des répercussions politiques du scandale.
Le gouvernement français sera mardi sous les feux simultanés de deux motions de censure, de la droite et de la gauche, qui exigent des explications sur l'affaire Benalla, du nom de l'ancien collaborateur du président accusé de violences.
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Contactez-nousEpilogue d'une folle séquence à l'Assemblée qui aura vu la majorité ébranlée par l'affaire Benalla et contrainte de reporter son projet de révision constitutionnelle, deux motions de censure du gouvernement seront défendues mardi par la droite et la gauche.
Alexandre Benalla a livré jeudi matin sa part de vérité sur l'affaire qui secoue l'exécutif, tandis que les critiques de l'opposition se concentraient toujours plus sur Emmanuel Macron après ses prises de parole impromptues.
L'affaire Benalla est le résultat d'"une dérive individuelle", et non pas "une affaire d'Etat", a affirmé mardi Edouard Philippe, tout en concevant que "l'on puisse poser des questions sur la proportionnalité" de la sanction infligée en mai au conseiller de l'Elysée.
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Contactez-nousEmmanuel Macron étant toujours mutique dans l'affaire Benalla, Edouard Philippe et son gouvernement seront soumis mardi au nom de l'exécutif au feu roulant des questions des deux chambres du Parlement, les députés LR annonçant même le dépôt d'une motion de censure après plusieurs jours de désordre.
L'affaire Benalla aura eu raison, au moins provisoirement, du projet de révision constitutionnelle voulu par Emmanuel Macron et dont l'examen, déjà compliqué, a été dimanche suspendu jusqu'à nouvel ordre, après un blocage inédit de l'Assemblée nationale.
La crise politique provoquée par l'affaire Benalla ne cesse de prendre de l'ampleur, se nourrissant du silence d'Emmanuel Macron et de la progression de l'enquête, avec une possible mise en examen dimanche de son ex-collaborateur, dans l'attente de l'audition de Gérard Collomb lundi à l'Assemblée.
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Contactez-nousLa commission des Lois de l'Assemblée auditionnera publiquement lundi matin le ministre de l'Intérieur sur l'affaire Benalla, alors que le domicile de ce collaborateur chargé de la sécurité du président, licencié après des violences le 1er mai, a été perquisitionné samedi et trois policiers placés en garde à vue.
Confronté à sa plus grosse crise depuis le début du quinquennat, l'Elysée a tenté de calmer le jeu vendredi en licenciant Alexandre Benalla, sans toutefois désarmer les critiques qui portent sur des thèmes chers à Emmanuel Macron comme l'autorité de l'Etat et l'exemplarité.
Tous les présidents de groupes d'opposition ont demandé vendredi après-midi au Premier ministre de venir s'exprimer devant l'Assemblée sur l'affaire Benalla, dénonçant "une fin de non-recevoir" d'Edouard Philippe et "une situation de blocage".
Coup de théâtre dans l'affaire Benalla: sous la pression politique et médiatique, l'Elysée a annoncé vendredi engager la procédure de licenciement d'Alexandre Benalla, filmé frappant un manifestant et placé en garde à vue vendredi.
Débats chaotiques, suspensions de séance, demandes de commission d'enquête des oppositions: le "scandale d'Etat" de l'affaire Benalla s'est invité jeudi à l'Assemblée nationale, parasitant les débats déjà compliqués sur la réforme constitutionnelle.
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