Retrouvez l'actualité sur les sujets benalla avec Tendance Ouest | Page 3
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Contactez-nousPrenant acte d'un ralentissement économique qui affectera le budget 2019, Edouard Philippe a néanmoins dit vouloir maintenir "le rythme" des réformes, annonçant un décrochage de l'indexation de prestations sociales de l'inflation et la fin des cotisations salariales sur les heures supplémentaires.
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Contactez-nousDéjà critiquée pour son bilan à la tête du ministère de la Culture, Françoise Nyssen se retrouve dans la tourmente après l'ouverture jeudi d'une enquête sur des travaux présumés illégaux menés lorsqu'elle dirigeait les éditions Actes Sud.
Tournant la page Benalla, Emmanuel Macron revient décidé à "ne pas dévier de stratégie" mais veut "au contraire poursuivre le déploiement" de ses réformes: c'est en ces termes qu'il a ouvert mercredi le conseil des ministres de rentrée.
Le président français, Emmanuel Macron, et son gouvernement se retrouvent mercredi en Conseil des ministres pour une rentrée politique au programme chargé, entre réforme de la fonction publique et délicate équation budgétaire.
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Contactez-nousDe retour de vacances mardi, Emmanuel Macron réunit mercredi un conseil des ministres de rentrée pour lancer l'année II de son programme de réformes, avec une détermination intacte malgré une croissance décevante et une image écornée par l'affaire Benalla.
Le Parlement a adopté définitivement mardi soir, via un vote de l'Assemblée, le projet de loi instaurant un "droit à l'erreur", qui permettra, sous réserve d'être "de bonne foi", d'éviter des sanctions de l'administration au premier manquement.
L'Assemblée nationale a rejeté mardi sans surprise la première motion de censure du gouvernement face à l'affaire Benalla, celle déposée par les députés LR.
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Contactez-nousEdouard Philippe a dénoncé mardi "l'instrumentalisation politique" faite de l'affaire Benalla par les oppositions et a assuré que son gouvernement n'entendait pas "ralentir le rythme" des réformes malgré les deux motions de censure débattues à l'Assemblée nationale.
Le président du groupe LR, Christian Jacob, a jugé que l'affaire "Macron-Benalla", qui "touche l'État et son chef au cœur" et face à laquelle le gouvernement a "abdiqué", va laisser des "traces profondes", défendant les "contre-pouvoirs", Parlement en tête.
Epilogue d'une folle séquence à l'Assemblée qui aura vu la majorité ébranlée par l'affaire Benalla et contrainte de reporter son projet de révision constitutionnelle, deux motions de censure du gouvernement seront défendues mardi par la droite et la gauche.
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Contactez-nousAlexandre Benalla dit "assumer" les faits pour lesquels il est mis en examen et dénonce "une volonté d'atteindre le président de la République, c'est sûr et certain", dans une interview au Monde jeudi matin.
Le secrétaire général de l'Elysée Alexis Kohler a déclaré jeudi devant la commission d'enquête du Sénat que la suspension d'Alexandre Benalla prononcée après le 1er mai pouvait "apparaître insuffisante", mais qu'elle était "proportionnée" lorsqu'elle a été prise au "regard des éléments connus le 2 mai".
Il a échappé de peu aux gendarmes : trois semaines après son évasion spectaculaire d'une prison de Seine-et-Marne, le braqueur Redoine Faïd a été repéré mardi à bord d'une voiture transportant des explosifs à Sarcelles, dans le Val-d'Oise.
Emmanuel Macron s'éloigne jeudi et vendredi des tensions en France pour effecuer sa première visite en Espagne et au Portugal, deux Etats qui partagent sa volonté de relancer l'Europe.
Dans l'affaire Benalla, "le responsable c'est moi", a affirmé mardi Emmanuel Macron devant des députés de la majorité, fustigeant "la République des fusibles" et disant avoir ressenti les "actes du 1er-Mai" de son collaborateur comme "une trahison", selon des propos rapportés.
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