“J’ai commencé ma carrière en étant apprenti patissier à Troyes ou encore à Reims. Avec mon épouse, nous avons visité 22 maisons à travers la France et nous sommes tombés amoureux de cette chocolaterie”, explique le célèbre Philippe Beyer.
Chocolaterie de renom
Aujourd’hui, le chocolatier aimerait se retirer. “Je ne pars pas à la retraite, je pars en TGV, en Très Grandes Vacances”, plaisante-t-il. C’est donc tout naturellement qu’il passe le flambeau à celui qui a été son apprenti pendant deux ans, Maxime Fessard. A 26 ans, le jeune homme amène avec lui un bon bagage de savoir-faire. “Il a travaillé pendant six ans chez Lenôtre à Paris”, précise Philippe Beyer, plein d’admiration pour son ex-apprenti.
“J’ai décidé de garder le nom Beyer pour la chocolaterie car c’est une identité sur Rouen et j’ai appris mon métier ici, raconte Maxime Fessard. Je vais conserver les bases tout en apportant un coup de jeune”. “Finalement rien ne change... sauf le patron”, s’exclame Philippe Beyer, le sourire aux lèvres. Espérons que la bonne humeur perdure dans cette institution.
Chocolaterie Beyer, 17 rue Grand-Pont à Rouen
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