Les habitants regardent incrédules les gigantesques étendues d'eau qui empêchent toute circulation, aux abords de la gare tout particulièrement. Les quelques automobilistes intrépides qui se fraient un passage payent parfois leur témérité au prix de leur moteur noyé. Cà et là, dans l'Orne comme dans l'eau immobile qui s'est accumulée, s'amoncellent des détritus de toutes sortes.
Sur certains trottoirs, dans certaines rues gisent en travers des voitures bousculées par l'eau. Le musée des Beaux-Arts annonçait avec son exposition d'été un "été au bord de l'eau" : le titre se révèle au regard de ces événements d'une bien cruelle ironie.
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