Aux fourneaux, on retrouve un ancien projectionniste du cinéma L'Omnia : Stéphane Marquis. Haut de plafond, sous des moulures discrètes, le lieu porte dans ses murs peints en jaune le souvenir de décennies de vie de la charmante petite brasserie. Sa large baie vitrée invite la lumière dans un bel espace calme et agréable.
Cuisine simple et bonne
Que se passe-t-il dans l'assiette ? Moyennant 12,50 € le midi, une formule du jour (entrée-plat ou plat-dessert) vous est proposée. Sinon, vous pouvez opter pour des plats à la carte, les grands classiques de la cuisine française, ou les suggestions du chef. Comme, par exemple ce jour-là, un os à moelle en entrée ou le séduisant "hamburger de l'Epoque".
Pour ma part, le feuilleté au chèvre et aux pommes, accompagné comme il se doit de salade, retient mon attention. Une très belle entrée en matière, soignée, savoureuse. En plat, les valeurs sûres sont de sortie et je n'ai pas été déçu par les lasagnes à la bolognaise. Pour mes voisins, ce sera endives gratinées au jambon ou steak haché sauce moutarde. Simple et réussi. Une fraise melba en dessert, et sa chantilly maison, et le tour est joué. Ce bistrot est bien attachant.
Pratique. Le Café de l'Epoque, 43 rue Armand Carrel, à Rouen.
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.