Cette petite phrase laisse donc sous-entendre que la BPI n'est pas là pour sauver des sites indisutriels comme Petroplus ou encore Florange, cité également en exemple par Nicolas Dufourq. "Notre agenda, c'est la France de 2030. Petroplus, est-ce la France 2030?", a lancé ce dernier. De quoi faire réagir les salariés de la raffinerie de Petit-Couronne, auxquels le gouvernement avait assuré à plusieurs reprises que la BPI pouvait jouer un rôle dans une éventuelle reprise...
Ironie du calendrier, Ségolène Royal, vice-présidente de la BPI, est attendue au Conseil régional de Haute-Normandie, à Rouen, ce vendredi 19 avril pour présenter les missions du nouvel organisme public.
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