C'est le 8 septembre 2020 que la victime décide de porter plainte pour violences. Elle est déjà séparée de son ancien compagnon, mais elle l'autorise à vivre chez elle jusqu'à ce qu'une énième dispute l'amène à lui demander de quitter son domicile, au Trait. Ce qu'il refuse.
Des violences quotidiennes
Menaces de mort par SMS, propos insultants et coups de poing étaient devenus quotidiens. Entendu puis laissé libre, il n'obéit pas à l'injonction de ne pas la contacter. Il casse même sa porte d'entrée. Deux mentions pour violences figurent à son casier. Le procureur note "une totale responsabilité dans les faits". Absent à la barre jeudi 4 mars, le prévenu est reconnu coupable par le tribunal qui le condamne à 10 mois de prison avec sursis probatoire de deux ans.
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