"Le bilan de la recherche est très décevant. Il suscite beaucoup de scepticisme. La gouvernance du plan est insatisfaisante et érode la confiance entre les patients, les scientifiques et les institutions." C'est un rapport au vitriol qu'a rendu début mars la députée Les Républicains de l'Orne Véronique Louwagie, sur l'évaluation de la politique publique en France contre la maladie de Lyme. "Il faut désormais tourner la page et poser les bases d'un deuxième plan national de lutte, qui corrigerait ces carences", explique la parlementaire, qui a formulé cinq propositions en ce sens.
Pour consolider les acquis du premier plan, poursuivre et renforcer les efforts de prévention et pérenniser et élargir les efforts en matière de surveillance vectorielle. Pour corriger les carences, améliorer l'épidémiologie, renforcer le soutien à la recherche publique et rénover la gouvernance
La maladie de Lyme est une pathologie complexe consécutive à une piqûre de tique infectée par une bactérie.
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