Dix jours après l'installation du Conseil municipal de Petit-Quevilly, six élus municipaux se sont rendus, lundi 8 juin, sur le site de l'usine Lubrizol de Rouen, touchée par un gigantesque incendie en septembre 2019.
Une "zone de guerre"
"La partie incendiée ressemble à une zone de guerre", raconte William Tchamaha, conseiller municipal (LREM) d'opposition. Les élus ont ainsi pu découvrir le "processus de nettoyage" actuellement en cours sur le site où les bâtiments 4 et 5 ont été détruits pas l'incendie.
Les élus municipaux ont également pu questionner la direction de Lubrizol sur les odeurs qui ont été présentes, d'après les riverains, pendant le confinement en avril dernier. "Ils observent que les odeurs sont moins perturbantes ces derniers jours du fait de l'évolution du chantier", rapporte le conseiller municipal après échange avec la direction de l'usine.
Ces travaux de nettoyage doivent se terminer en septembre prochain, avait expliqué le préfet de la Seine-Maritime lors du comité pour la transparence et le dialogue.
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