Le champion olympique des lourds, suspendu un an avec sursis le 12 décembre pour trois "no show", avait demandé le report de l'audience à début juillet mais c'est la date du 20 juin qui a finalement été retenue, "soit trois jours avant un potentiel combat de Yoka", explique le quotidien sportif.
Vainqueur de son quatrième combat professionnel début avril, Yoka voulait défier le champion de France de sa catégorie, Raphaël Tronché, le 23 juin. Refus de Tronché qui ne souhaite pas combattre à cette date.
Un "no show", ou défaut de location, résulte du fait d'être absent à l'adresse que doit indiquer un sportif de haut niveau à son autorité antidopage lorsque se présentent les contrôleurs.
Après la sanction de sa fédération, l'AFLD s'est saisie de ce dossier. Selon le code mondial antidopage, que l'AFLD a l'habitude de suivre, un sportif risque pour trois "no-show" en moins de douze mois une suspension ferme d'un ou deux ans "en fonction du degré" de sa faute.
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