Ils étaient mille cinq cents manifestants, selon les organisateurs, ce samedi après-midi 30 septembre 2017 à Saint-Lô, mais beaucoup moins (environ neuf cent) selon les forces de l'ordre. Ils protestaient contre l'EPR de Flamanville, qui doit démarrer fin 2018.
Décision attendue dans un mois
Mais le "Collectif antinucléaire Ouest" estime qu'il est encore temps de tout arrêter, car la cuve du réacteur en construction, non conforme, pourrait entraîner une catastrophe. L'Autorité de sûreté nucléaire doit rendre une décision définitive concernant cette cuve le mois prochain.
Les manifestants ont fait un tour du centre-ville, avant de déposer des ustensiles de cuisine sur les grilles de la préfecture. Les associations ont déposé trois recours et une plainte. Elles réclament l'arrêt de ce chantier, qui accumule six ans de retard et sa facture s'élève à 10 milliards et demi d'euros.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.