"Les installations arrivent en fin de vie et leur remise en état nécessiterait l’engagement de dépenses importantes. De plus, aucune étude in situ ne permet de conclure que l’éclairage public apporte une amélioration de la sécurité routière sur les voies rapides urbaines", explique la Direction interdépartementale des routes Nord-Ouest.
La décision est aussi motivée par des raisons écologiques et économiques. "L’éclairage du boulevard périphérique de Caen consomme annuellement 1 700 Méga Watt heure. Cet éclairage contribue à l’accroissement de la pollution lumineuse nocturne. Son coût en énergie et entretien, en moyenne de 250 000 €/an, est supporté par les contribuables".
Seuls les secteurs limités à 70 km/h (échangeurs de la Porte de Paris et du Bessin et viaduc de Calix) resteront éclairés.
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