C'est le projet de l'homme d'affaires Georges Viana qui a retenu les faveurs du tribunal de commerce. La marque restera sur le territoire, des emplois seront conservés et la production devrait reprendre rapidement.
Georges Viana a indiqué vouloir relancer l'activité "de façon artisanale à partir du mois de février". Ce dernier avait fait appel au financement participatif et avait déjà récolté plus de 100 000€. Il lui manque encore 600 000€ pour relancer totalement l'activité.
"C'est une décision historique", a assuré le responsable CGT Franck Mérouze. Selon l'AFP, les machines de l'usine, elles, ont été vendues à la société bretonne de céréales bio Cereco (marque "Grillon d'or").
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