"Bachar al-Assad, c'est un criminel, il devra être jugé et répondre de ses crimes devant la justice internationale. Mais je n'ai pas fait de sa destitution un préalable, par pragmatisme", a déclaré M. Macron lors d'une conférence de presse, estimant qu'il revenait au peuple syrien "de choisir librement le dirigeant à venir".
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