Quelle meilleure occasion pour offrir des fleurs que la Saint-Valentin ? La question agacera celles et ceux qui ne voient que le spectre commercial dans la journée des amoureux. Mais l'attention attise forcément la sympathie, à moins qu'elle ne soit accompagnée d'un mot désobligeant. Pour faire plaisir, il n'y a pas besoin de se ruiner. C'est Damien Aubert, gérant de l'enseigne Au lilas blanc, lovée rue Guillaume le Conquérant à Caen, qui le dit. "Une rose peut suffire, chacun fait avec ses moyens". Il faut dire qu'il faut compter 7 à 8 € la rose rouge, l'arme fatale d'un bouquet de Saint-Valentin, synonyme d'amour, les prix augmentant de façon significative le Jour J.
Conseil de conservation
"Les fleurs sont des produits frais, et comme pour le poisson par exemple, malgré les prévisions des fournisseurs, la demande est telle que le tarif grimpe inévitablement". Paradoxalement pour le client, il peut devenir un allier afin de s'assurer de la fraîcheur du bouquet acheté. Huit roses fixées à 10 €, par exemple, ont très peu de chance d'avoir été coupées dans les 48 heures précédant la vente.
Du côté du bouquet, "la tendance est au champêtre, plutôt élancé, alors que la mode des arrangements serrés est un peu dépassée". Le blanc, avec des lys par exemple, se charge d'apporter une connotation de pureté à l'ensemble. Une fois reçu, quelques conseils sont à retenir pour que le bouquet se conserve au mieux. "Il faut s'en occuper : couper tous les jours en biseau le bas de la tige, ne pas hésiter à les raccourcir et placer le vase dans un endroit pas trop chauffé". A retenir, parce que l'avantage d'un bouquet, c'est qu'il ne dure pas uniquement le temps de la Saint-Valentin.
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